Depuis son indépendance, le Ghana a dû faire appel au FMI à 17 reprises, soit une fois tous les quatre ans en moyenne.
Depuis son indépendance, le Ghana a dû faire appel au FMI à 17 reprises, soit une fois tous les quatre ans en moyenne. Mais cette fois-ci, c’est l’obtention d’un plan de sauvetage de la part du prêteur qui a été la plus facile.
Les dirigeants ghanéens ont encore beaucoup à faire pour convaincre les créanciers d’accorder un allègement de la dette de plus de 22 milliards de dollars, notamment parce qu’une grande partie de la dette extérieure d’Accra est détenue par des prêteurs privés qui veulent récupérer tout leur argent…