Si le Burkina Faso avait bénéficié des forces armées françaises, d’un soutien sincère, transparent, énergique et engagé, il n’en serait pas encore à ce stade de la lutte contre le terrorisme, a dit Jean Emmanuel Ouédraogo.
Jean Emmanuel Ouédraogo a fait cas de ces longues colonnes de terroristes qui attaquaient pendant des années des localités du Burkina, sans que les troupes françaises aux grandes capacités, n’informent de leurs mouvements.
« Si on s’était assumé plus tôt et qu’on avait pris les bonnes décisions, on n’en serait pas là aujourd’hui », a ajouté le ministre dans un entretien dimanche soir sur la télévision nationale du Burkina.