« Nous ne reconnaissons aucune légitimité aux déclarations des putschistes », a déclaré M. Macron, demandant « la libération du président Bazoum et la restauration de l’ordre constitutionnel ». « Si nous redéployons quoi que ce soit, je ne le ferai qu’à la demande du président Bazoum et en coordination avec lui », a-t-il souligné.
Le président français a également souligné que les troupes françaises étaient présentes au Niger à la demande des autorités légitimes du pays et avaient atteint une réduction significative du nombre d’attentats terroristes.
Pour rappel, Le Monde se référant à ses sources a rapporté le 5 septembre que la France avait commencé des pourparlers sur la possibilité de retirer une partie de ses troupes déployées au Niger. En cela, ni le nombre de personnels concernés ni les délais n’ont été précisés. Le journal a expliqué que « certaines unités pourraient être redéployées dans la région, notamment au Tchad voisin, ou être directement rapatriées à Paris »…