Trois semaines après le putsch qui a renversé l’ancien président du Gabon Ali Bongo, son fils aîné, Noureddin Bongo Valentin, et plusieurs proches de son cabinet ont été mis en examen et écroués pour « haute trahison » et « corruption active », a annoncé, mercredi, le procureur de Libreville.

Coup de filet dans le clan Bongo. Le fils aîné ainsi que des proches du cabinet de l’ancien président gabonais Ali Bongo Ondimba ont été mis en examen et incarcérés pour « haute trahison » et « corruption active », trois semaines après le coup d’État qui a renversé le dirigeant déchu.

Le procureur de Libreville, André-Patrick Roponat, a annoncé, mercredi 20 septembre, à l’AFP, que Noureddin Bongo Valentin, le fils aîné d’Ali Bongo, Jessye Ella Ekogha, l’ancien porte-parole de la présidence, ainsi que quatre autres personnes ont « été mises en examen mardi et placées en détention provisoire »…

Au Gabon, le fils aîné d’Ali Bongo écroué pour « haute trahison » et « corruption active » (msn.com)