Européens et Américains ne sont pas sur la même longueur d’onde quant au règlement de la crise au Niger.

L’Union européenne a adopté, ce lundi (23.10.2023), un cadre juridique qui ouvre la voie à des sanctions contre des personnalités et organisations, qui s’opposent à la démocratie et au retour à l’ordre constitutionnel.

Ces sanctions vont consister en un gel de leurs avoirs dans l’Union européenne, une interdiction de mise à disposition de fonds, et une interdiction de pénétrer sur le territoire de l’UE.

« Nos priorités sont claires : libération du Président Mohamed Bazoum et de sa famille, retour à l’ordre constitutionnel, appui à la population », a posté Josep Borrell, responsable de la politique étrangère de l’UE sur X, ex-Twitter…

Divergences entre Américains et Européens sur le Niger (msn.com)