Le pays traîne toujours la triste réputation d’être l’un des plus dangereux au monde, avec trois meurtres commis toutes les heures au cours du premier trimestre.

Dix ans après la mort de Nelson Mandela, une bonne partie de la population sud-africaine continue de louer son héritage, mais s’indigne que son combat pour un idéal démocratique reste encore un mirage.

 Chômage, inégalité et insécurité sont encore des fléaux majeurs dans la première économie du continent malgré la lutte de Mandela pour une répartition des richesses. Le pays traîne toujours la triste réputation d’être l’un des plus dangereux au monde, avec trois meurtres commis toutes les heures au cours du premier trimestre…

En Afrique du Sud, l’héritage de Mandela résiste mal à l’épreuve du temps (msn.com)