Un projet de loi en discussion à l’Assemblée tend à restreindre le dispositif légal en matière de contrôle des associations. Selon le directeur du centre El Kawakibi pour la transition démocratique, cette tentative de mise sous contrôle pourrait avoir des effets très négatifs sur les libertés civiles.
Avis de gros temps sur la société civile tunisienne : un nouveau projet de loi prévoit de placer les associations sous le contrôle du pouvoir. Sans distinction, celles-ci sont clouées au pilori par le président Kaïs Saïed qui estime que les subventions reçues de l’étranger par certaines d’entre elles constituent un motif légitime de suspicion. L’initiative provoque un tollé au sein de la société civile…
En Tunisie, « toute structure indépendante dérange, c’est systématique » (msn.com)