Motivé par des arguments fallacieux, la décision de Bamako de mettre fin à l’accord signé en 2015 n’est pas une réaction épidermique à un quelconque acte prétendument « inamical » d’Alger mais a bien été préparée depuis au moins deux ans.

Durant cette période, les autorités de transition maliennes ont commencé par ne plus répondre aux invitations de l’Algérie, en sa qualité de chef de file de la médiation internationale, ni à participer aux rencontres pour discuter de la mise en œuvre dudit accord…

Dénonciation de l’accord de paix au Mali: Bamako engage le Sahel dans une crise sans précédent (msn.com)