Des artères de N’Djamena presque vides aux premières heures de pointe, des écoles publiques fermées : ce sont les premiers signes de ce mouvement de contestation de la hausse des prix du carburant au Tchad.

Si le gouvernement tchadien tente de justifier cette augmentation par le besoin d’harmonisation des coûts avec les pays voisins et ceux de la zone Cémac (Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale, ndlr), en vue de dissuader les réseaux de contrebande tout au long des frontières, l’argument ne convainc pas les partenaires sociaux…

Au Tchad, les fonctionnaires en grève pour six jours (msn.com)