Le 13 juillet, la secrétaire générale du Parti des travailleurs annonçait qu’elle renonçait à concourir à la présidentielle du 7 septembre. Aujourd’hui, elle précise qu’elle en a été exclue de manière « préméditée et exécutée par des procédés infâmes ».

Désormais ex-prétendante à la magistrature suprême, Louisa Hanoune s’est retirée officiellement de la course, le 13 juillet dernier. Elle a échoué à récolter les 50 000 signatures individuelles d’électeurs inscrits sur une liste électorale, nécessaires au dépôt d’un dossier. Mais ce qu’elle n’avait pas encore précisé, c’était pour quelles raisons et dans quelles conditions elle n’était pas parvenue à obtenir les parrainages nécessaires. Une semaine plus tard, le 20 juillet, elle est donc revenue sur la situation…

Retirée de la présidentielle algérienne, Louisa Hanoune évoque « des menaces et du chantage » (msn.com)