Une équipe gouvernementale composée des ministres de la Sécurité, de l’Action humanitaire et du porte-parole du gouvernement s’est rendue sur place pour témoigner leur solidarité aux familles endeuillées et aux blessés. Les autorités du Burkina Faso ont par ailleurs annoncé uneprise en charge gratuite des blessés.
Marché fermé
Selon les habitants du village endeuillé, plus de 600 jeunes et des personnes âgées s’étaient mobilisées pour creuser des trous. Des dispositifs censés piéger les pick-up ennemis et protéger l’armée de terre.
Depuis l’attaque meurtrière, à Kaya, ville la plus proche de Barsalogho, des informations souvent non vérifiées circulent sur les réseaux sociaux. Mais de source crédible, ce lundi, le marché de Kaya sera fermé pour permettre aux familles éplorées de pouvoir enterrer leurs proches. Certains habitants préfèrent rester discrets, de peur d’être considérés comme des complices…
Au moins 100 civils tués dans une nouvelle attaque au Burkina Faso (msn.com)