Plus de sept organisations syndicales et professionnelles de la santé ont appelé le gouvernement à privilégier le dialogue, après deux rassemblements des étudiants en médecine dispersés à Rabat et marqués par des arrestations. Si le ministère de l’Enseginement supérieur a annoncé une série de mesures, surtout pour la filière de pharmacie, les médecins internes et résidents se joignent désormais aux protestations, en observant une grève de cinq jour.
Dans la nuit de jeudi à ce vendredi, le Comité national des internistes et des résidents (CNIR) s’est joint à la mobilisation des étudiants en médecine, en condamnant «des violations flagrantes» à la suite des sit-in tenus à Rabat, ces deux derniers jours. «Nous avons été choqués par le retour aux méthodes répressives, encore plus graves, avec une répression physique et verbale ayant abouti à l’interpellation d’un nombre de médecins internes», a fustigé un communiqué…