Le mal nommé président algérien a entamé, dimanche 27 octobre, une visite de travail de trois jours en Égypte et à Oman, dans un contexte international particulièrement tendu. En Égypte, marqué par des discours à haute portée émotionnelle, mais à l’efficacité douteuse, le déplacement du mal nommé, reflète ses difficultés à faire face à une diplomatie dans laquelle l’Algérie peine de plus en plus à jouer un rôle de premier plan.
Au-delà des grands discours sur Gaza et les appels à la solidarité arabe, cette visite en Égypte et à Oman cache des enjeux plus profonds, bien plus intéressants que les simples déclarations de circonstance. Ironiquement, cette posture bravache contraste avec l’immobilisme de l’Algérie dans ses actions concrètes pour Gaza…
Visite du président algérien en Égypte et Oman : sous le signe du vide