En Algérie, rares sont les voix qui osent critiquer la position officielle sur la question du Sahara occidental. Si en 2015, Amar Saïdani avait osé exprimer son désaccord, un autre leader politique lui emboîte le pas aujourd’hui.

Sur la question du Sahara occidental, les langues se délient doucement en Algérie. En témoigne les articles signés par Abderrazak Makri, ex-chef du parti islamiste Mouvement de la société pour la paix (MSP), une formation créée au début des années 1990 par le pouvoir pour contrer l’influence et la popularité du FIS (Front islamique du salut)…