Dans son allocution d’ouverture des travaux de la 11e Réunion ministérielle du Comité des dix chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Union africaine (C10) sur la réforme du Conseil de sécurité des Nations unies, au Centre international de conférences (CIC) Abdelatif-Rahal (Alger), M. Attaf a indiqué que cette rencontre « se tient, aujourd’hui, dans un contexte international d’une gravité et d’une complexité extrêmes, un contexte qui a remis au premier plan des priorités impérieuses, le dossier de la réforme de l’organe central de notre organisation onusienne, à savoir le Conseil de sécurité. »

Le ministre a également indiqué que la réforme du Conseil de sécurité international « est souhaitée et revendiquée par tous, mais pas avec la même mesure ni avec les mêmes objectifs nobles et constructifs sur lesquels repose la position africaine commune », soulignant que « l’Afrique veut une réforme qui élimine l’injustice historique qui lui est imposée, étant le seul absent aux sièges permanents du Conseil, et le moins représenté aux sièges non permanents au sein du même Conseil »…

L’Afrique veut une réforme du Conseil de sécurité qui lève l’injustice historique à son égard (msn.com)