Mohamed Bachir Rachdi, président de l’Instance nationale de la probité, de la prévention et de la lutte contre la corruption (INPPLC), n’a pas mâché ses mots en critiquant la lenteur de la réaction gouvernementale face aux recommandations émises par son instance. Il a également pointé du doigt l’absence de convocation de la Commission nationale de lutte contre la corruption, pourtant présidée par le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, depuis l’entrée en fonction de l’actuel exécutif.

« Ces remarques, basées sur des analyses objectives de l’instance, n’ont pas pour but d’attaquer le gouvernement ou de marquer des points contre lui », a affirmé  le président de l’INPPLC dans une déclaration à Hespress, repoussant fermement toute idée d’une « surenchère entre le pouvoir exécutif et les institutions constitutionnelles » dans la lutte contre la corruption… Corruption : Rachdi réfute toute idée d’une « surenchère entre le pouvoir exécutif et les institutions constitutionnelles » (msn.com)